Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 breathing life into my nightmare + wyatt

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Wyatt Shelton

Wyatt Shelton




Messages : 35
Date d'inscription : 20/04/2014
Localisation : A la caserne
Job : Lieutenant pompier



breathing life into my nightmare + wyatt Empty
MessageSujet: breathing life into my nightmare + wyatt   breathing life into my nightmare + wyatt EmptyDim 20 Avr - 16:48

WYATT ADRIEL SHELTON


"lately i've been losing sleep"

NOM : Shelton ; PRENOM : Wyatt Adriel ; AGE : 29 ans ; LIEU ET DATE DE NAISSANCE : 10 février à Salt Lake City, dans l'Utah ; NATIONALITÉ & ORIGINE : Américaine ; SITUATION CIVILE : Son cœur est prit par une belle brune ; SEXUALITÉ : Hétérosexuel ; PROFESSION : Lieutenant pompier ; GROUPE : Citizens ; AVATAR : Jesse Spencer (SWEET DISASTER) ;

MANIES & TICS : Wyatt est hyperactif, mais il prend un traitement depuis son plus jeune âge. Malheureusement, depuis la mort de son frère jumeau, Maddox, ça s'est accentué et il est constamment sous tension. - Il a décidé de devenir pompier à l'âge de 15 ans, suite à l'incendie de la maison de ses voisins où il s'est senti faible, impuissant et inutile. Il s'est découvert une vocation. - Malgré le fait que Maddox et lui soient jumeaux, ils ont toujours été totalement différents. Son frère était très fêtard et courait après tout ce qui bougeait, contrairement à Wyatt. - Il a la fâcheuse tendance de s'en prendre aux meubles ou aux murs quand il s'énerve, sachant qu'il perd son calme très rapidement. - Il a déjà reçu plusieurs avertissements de ses supérieurs pour son comportement violent en interventions, dont un blâme. - Il déteste la police et tout ce qui s'y rapporte, il trouve qu'ils ne font pas leur boulot, d'où le fait qu'il mène ses propres enquêtes, quitte à empiéter sur les plates bandes des flics. - Mis à part ses médicaments, Wyatt ne touche pas à l'alcool, ni à la drogue, ni à la cigarette. - Il a pour habitude de courir tous les matins à 08h00 pétantes. - Il déteste les cornichons. - Il achète tous ses meubles en double pour quand il cassera le premier ; et la vaisselle en triple. - Il conduit un 4x4 noir, il y tient comme à la prunelle de ses yeux, il appartenait à son frère. - Il pratique la boxe depuis qu'il a 12 ans, ça lui permet d'évacuer sa colère. - Il lui en faut peu pour en arriver aux mains, il a d'ailleurs plusieurs fois déclenché des bagarres monstres. - Il a un dossier médical plus épais qu'une encyclopédie. - Il n'a plus donné de nouvelles à sa famille depuis la mort de son frère, 4 ans plus tôt. - Il se mêle constamment de ce qui ne le regarde pas, mais refuse de dire quoi que ce soit sur lui. - Son tempérament à tendances violentes en effraie plus d'un, même ses collègues. ; SIGNES PARTICULIERS : Il fait preuve d'une agressivité incroyable. - Il n'a rien contre les gangs, il veut simplement choper le membres des Bulls qui a tué son frère. - Il est sous traitement pour son hyperactivité. - Seul son meilleur ami arrive à le calmer quand il est énervé. - Il s'interdit le café, les bonbons, l'alcool... Tout ce qui peux cultiver son impulsivité. ; QUALITÉ & DÉFAUTS :  Affirmé, agile, agité, agressif, ambitieux, autoritaire, bagarreur, battant, borné, brisé, brusque, charismatique, curieux, déterminé, dévoué, imprévisible, impulsif, colérique, jaloux, lunatique, nerveux, sarcastique, sportif, téméraire, tenace. ; VOTRE POSITION SUR LES GANGS : J'en ai rien à faire d'eux. Je veux juste choper le type qui a mis une balle dans la poitrine de mon frère, peu importe ce qu'ils font, ou qui ils sont, je veux juste la tête de ce mec sur un plateau d'argent. ;



"Que penses-tu de la montée en puissance des gangs en ville ?" : C'est mauvais. Les gangs font de plus en plus de dégâts, et en plus s'en prendre aux bâtiments, ils font aussi de nombreuses victimes sur leur passage. Quand Mad est mort, ils étaient déjà très présents, mais c'est de pire en pire. ; "Te sens-tu menacé par leur activité ?" : D'un côté, oui. Qu'ils s'en prennent aux flics c'est un fait, mais maintenant ils nous visent aussi dans nos interventions, et je ne laisserais jamais aucun de mes hommes se faire tirer dessus par des types comme eux. ; "Êtes-tu satisfait du travail des autorités ?" : J'ai le droit de rire ? Les autorités lève pas le petit doigt pour enrailler tout ça, Chicago est la capitale des gangs à cause d'eux, alors non, y'a rien de satisfaisant là-dedans. ; "Les actions des gangs ont-elles une influence sur ta vie ?" : Plus que jamais. L'un d'eux à tuer mon frère, et je ne lâcherai pas l'affaire pour retrouver le responsable, quitte à y laisser ma peau. ;

PSEUDO & PRENOM : Loki'd/Marjorie ; PAYS/REGION : France, PACA ; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : Dans ma tête  breathing life into my nightmare + wyatt 3158199661  ;  TON AVIS SUR LE FORUM:  breathing life into my nightmare + wyatt 1298813094   ; FRÉQUENCE DE CONNEXION SUR 7: 6/7 ;  CODE: Je me valide seule d'abord ! ;


Dernière édition par Wyatt Shelton le Lun 21 Avr - 10:11, édité 10 fois
Revenir en haut Aller en bas


Wyatt Shelton

Wyatt Shelton




Messages : 35
Date d'inscription : 20/04/2014
Localisation : A la caserne
Job : Lieutenant pompier



breathing life into my nightmare + wyatt Empty
MessageSujet: Re: breathing life into my nightmare + wyatt   breathing life into my nightmare + wyatt EmptyDim 20 Avr - 16:48

This is my life



home is wherever i'm with you

« Hé Maddox, faut que j'te parle d'un truc important. » Entrant dans la chambre de son frère, Wyatt se jeta sur le lit pour se retrouver allongé sur le dos. Occupé à faire du découpage non-identifié, Maddox releva la tête avant de faire pivoter sa chaise de bureau pour se retrouver face à son jumeau. « C'est jamais bon quand tu veux m'dire un truc important, Rocky. »  Wyatt leva les yeux au ciel avant de s'asseoir. « J't'ai d'jà dit cinquante fois de pas m'appeler comme ça. En plus, Stalone, c'est que d'la gonflette. » Maddox ricana, jouant avec ses ciseaux, rapprochant sa chaise du lit. « Allez, accouche. »  Le visage soudainement sérieux, Wyatt le regarda dans les yeux, trifouillant ses doigts inconsciemment. « Tu t'souviens des demandes de stages que j'ai envoyées ? Bah, Chicago m'a accepté. » Le bruit des ciseaux s'arrêta, le regard de Maddox fixé sur son outil. Puis, il releva la tête vers son frère, confus. « Et ? Tu vas partir ? » « Oui. Tu sais à quel point j'voulais aller là-bas, c'est la caserne que j'voulais absolument. » « C'est pour combien de temps ? » Se levant, Wyatt alla se poster contre le rebord de la fenêtre, bras croisés sur sa poitrine alors que son frère tapait nerveusement du pied. Dans les moments de stress plus ou moins intenses, leur hyperactivité se faisait toujours plus ressentir. Pour l'évacuer, ils avaient chacun leur moyen, en dehors du traitement médical. Maddox passait des nuits et des jours entiers à faire la fête, absolument increvable ; tandis que Wyatt se montrait bien plus agressif en se lançant dans des bagarres non-justifiées. Un regard de travers était suffisant pour le faire sortir de ses gonds. « J'ai une période d'essai de six mois. Et si j'fais l'affaire, après, ils m'engagent. » Ni une, ni deux, Maddox sauta sur ses pieds, jetant le ciseau sur un pan du mur. Mur déjà à l'état de gruyère. C'était celui qui lui avait servi de cobaye quand il s'était mis en tête de devenir lanceur de couteaux, comme au cirque. Wyatt s'était d'ailleurs joint à lui, mais pas pour longtemps. Il se lassait bien trop vite. Un grand bruit alerta Wyatt, et il observa son frère rouler des vêtements en boule pour les fourrer dans la valise qu'il venait de jeter au sol. Il le regarda faire un instant avant de venir se placer près de lui, intrigué. « Tu fais quoi, Mad ? » « Bah ça s'voit pas ? J'fais ma valise. » Avec un léger ricanement, Wyatt arqua un sourcil, l'air moqueur. « On peut savoir où tu vas ? En Antarctique pour devenir un pingouin ? » Les plans foireux de son frère, Wyatt les connaissait bien, et ça ne l'étonnerait pas qu'il s'agisse de quelque chose du genre. Une fois, il lui avait même annoncé, le plus sérieusement du monde, qu'il voulait partir en Afrique pour étudier le comportement des girafes. Maintenant, il s'attendait vraiment à tout. « T'es vraiment con quand tu t'y mets. J'ai encore un doute sur notre lien de parenté. » Cessant ses mouvements brusques, Maddox planta son regard dans celui de son frère, un sourire au coin des lèvres. « J'pars avec toi, ducon. » Un sourire trouva sa place sur le visage de Wyatt, qui prit son frère dans les bras. « J'me demandais quand est-c'que t'allais le dire. » Ils avaient beau être radicalement différents, il leur était impossible de vivre l'un sans l'autre. Le lien qui unit deux jumeaux est indestructible. Lorsque leurs parents avaient divorcé, les jumeaux avaient eu peur que leur vie change du tout au tout. Mais au final, les deux adultes étaient restés en bons termes, et les jumeaux avaient tendance à croire que c'était grâce au lien les unissant tous les deux. D'ailleurs, ils n'en étaient pas peu fiers. D'après eux, leurs parents avaient vu l'importance de la préservation d'un lien d'une telle force, sans en venir à les séparer, comme certains l'auraient fait. Sans Mad, Wyatt aurait eu l'impression de perdre une partie de lui-même, et il savait que l'inverse était vrai. Depuis toujours, entre eux, c'était à la vie, à la mort. Quand on en voyait un l'autre n'était jamais bien loin. Et Wyatt pensait sincèrement que ça ne changerait jamais.

when you lose something you can't replace.


Après une douche relaxante bien méritée, Wyatt, vêtu d'une serviette nouée autour de sa taille, avala machinalement les pilules servant à traiter son hyperactivité. Aujourd'hui, il était parti sur une intervention particulièrement éprouvante, que ce soit physiquement ou mentalement. L'un de ses collègues, Chris, avait frôlé la mort, et sans Wyatt et Shane, il ne serait jamais sorti des flammes. Alors oui, le jeune homme, du haut de ses vingt-cinq ans, avait la ferme intention de profiter de l'une de ses rares soirées tranquilles. En effet, Mad était parti chez sa petite amie, celle-là même qui lui avait donné une nouvelle raison de ne pas quitter Chicago. La première étant Wyatt. Après avoir goûté à la caserne de Chicago, le jeune homme n'avait plus voulu repartir dans son Utah natal. Son frère avait d'abord décidé de rester un peu plus longtemps avec lui, puis il avait fait la connaissance d'une jeune femme bien spéciale à ses yeux, puisqu'il n'avait plus voulu la quitter. C'était la première fois que Wyatt voyait son frère comme ça, et ces derniers temps, Maddox passait plus de temps chez sa copine que dans l'appartement qu'il partageait avec son frère. Jaloux au début, Wyatt s'était finalement réjoui du bonheur grandissant de son jumeau. Il s'attendait donc à une soirée en solitaire lorsqu'on toqua à la porte. Soupirant, il leva les yeux au ciel, ayant aperçu les clés de Mad posées sur la commode. Il les oubliait toujours, c'en était désolant. Sans plus réfléchir, Wyatt ouvrit la porte, toujours en serviette, l'air moqueur. « La prochaine fois, j'te les incru– Euh.. Bonsoir ? » Le flic lui faisant face avait l'air plus qu'austère, et Wyatt songea d'abord à une erreur d'adresse. Qu'est-ce que les forces de l'ordre pouvaient bien lui vouloir ? Puis il remarqua les épaulettes de l'agent, signalant son grade – commandant. Ce qui était peu commun, surtout quand il venait taper à votre porte. « Monsieur Wyatt Shelton ? » Là, ça devenait inquiétant. Wyatt fronça les sourcils, se disant que finalement, il n'avait peut-être pas la tenue la plus appropriée. « Oui ? » « Je suppose que vous n'êtes pas sans ignorer la guerre de gang qui fait rage en ville depuis quelques temps ? ? » « Évidemment. Trouvez-moi un crétin dans cette ville qui n'est pas au courant de tout ça. » Le flic marqua une pause mais ne releva pas le sarcasme. Il avait l'air accablé, ce qui commençait sérieusement à faire perdre son sang froid à Wyatt. « J'ai la lourde tâche de vous annoncer que le corps de votre frère, Maddox Shelton, a été retrouvé ce soir. Il s'est retrouvé au milieu d'un règlement de compte. » Un rire nerveux s'échappa des lèvres de Wyatt, qui n'y croyait pas le moins du monde. « J'ai failli y croire. Va réviser ton humour, trouduc. » Le commandant se racla la gorge, visiblement mal à l'aise. « Je ne plaisante pas, monsieur. Je vous présente toutes mes condoléances. Soyez assuré que nous faisons notre possible pour retrouver les responsables de tout ça. » Le sourire narquois qui avait pris place sur les lèvres de Wyatt disparut instantanément alors que la nouvelle imprégnait chacune de ses cellules. Le monde semblait s'effondrer autour de lui, et ses entrailles semblaient se dissoudre. Il avait une soudaine envie de vomir, de hurler, de fuir, de tout détruire. Perdant toute forme de contrôle, il se jeta sur l'homme face à lui, le rouant de coups. Tombant à la renverse, le commandant se retrouva couché sur le dos, tentant de protéger son visage, Wyatt assis à cheval sur lui. Ses poings serrés frappaient tout ce qu'ils pouvaient atteindre, chaque impact devenant de plus en plus violent. Puis, aussi soudainement qu'il avait commencé, il cessa tout mouvement, avant d'asséner un dernier coup, plus puissant que les autres, sur le sol. Il sentit ses os se briser, mais ça n'avait pas d'importance. Plus rien n'avait d'importance.

when you lose something you can't replace.

Depuis la mort de Maddox, Wyatt s'était plongé corps et âme dans son travail, voyant une sorte d’exutoire dans les pompiers. Il y passait tout son temps, ne supportant plus de rester seul chez lui. Après cette tragédie, un grand vide l'avait empli, avant d'être remplacé par une rage et une soif de vengeance destructrices. Même son traitement n'arrivait plus à le calmer réellement, son hyperactivité se traduisant à présent dans des accès de colère et d'autorité sans précédent. Personne n'arrivait à le calmer ou le raisonner quand il se mettait dans de tels états. Un rien lui faisait perdre tout contrôle de lui-même. Le plus souvent, il finissait par s'en prendre au mobilier, mais sa violence grandissante lui posait plusieurs problèmes. Il était notamment dans une relation avec une jeune femme, jusqu'à ce que celle-ci finisse par fuir. Les crises de colère de Wyatt l'avaient terrorisée, elle avait peur qu'il finisse par s'en prendre à elle. Chose qu'il ne ferait jamais, malgré sa rage aveuglante, il savait choisir ses cibles – généralement, les meubles. Mais ce qui avait pris le plus d'ampleur était son désir de vengeance. A ses yeux, les flics ne faisaient rien pour arrêter les responsables du meurtre de son frère. La police était inutile et il avait donc décidé de faire justice lui-même. Qu'il s'agisse de gang, ou non. Mais cette enquête là piétinant, il satisfaisait sa soif de justice en fouinant dans les affaires des gens qu'il secourait. Junkies, agressions aux airs suspects, fusillades, et tout ce qui s'en suit lui suffisaient pour mettre son nez dans la vie des autres. Il voulait toujours démêler le vrai du faux, et trouver un fautif à blâmer. Mais au-delà de tout ça, son comportement en intervention se faisait de plus en plus instable. Ses colères empiraient avec le temps, et il n'était pas rare que ses collègues cherchent à le stopper et le calmer. Comme c'était le cas actuellement, alors qu'ils intervenaient sur un vulgaire malaise dans une fête foraine. Les gens s'agglutinaient autour, ne laissant pas les pompiers faire leur travail. Un ivrogne puant l'alcool à plusieurs mètres à la ronde s'amusait à les provoquer depuis leur arrivée, et plus ça allait, plus Wyatt sentait son sang bouillonner. Ses collègues avaient beau tenter de le calmer, rien n'y faisait, il sentait qu'il ne se retiendrait plus longtemps. « T'façon, vous êtes qu'une bande de branleurs ! » C'était le mot de trop. Se relevant précipitamment, Wyatt arracha la radio accroché à son épaule et la jeta au visage du type. Et avant que ce dernier ne puisse riposter, il l'attrapa par le col, approchant son visage du sien, l'air menaçant. « Encore un mot de travers, et je m'assure que tu puisses plus jamais ouvrir ta bouche. Compris ? » L'ivrogne n'eut même pas le temps de rétorquer qu'un collègue se rua sur Wyatt pour le séparer du type, l'éloignant de la foule. « Oh, Shelton ! Laisse tomber, il est bourré ! Encore un truc comme ça, et c'est le blâme ! Fais pas l'con ! » Le défiant du regard, Wyatt se dégagea de son emprise avant de tourner les talons, se dirigeant vers le camion. « Chargez la victime, on met les voiles. »

Revenir en haut Aller en bas
 

breathing life into my nightmare + wyatt

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

 Sujets similaires

+
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
WEST SIDE :: Who are you :: I'm born this way :: Welcome !-
Sauter vers: